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Leonidas Kavakos, direction et violon
Avec ses quatre ré joués au début par les timbales en solo, son thème principal répété 40 fois et sa longueur inusitée, le Concerto pour violon en ré majeur de Beethoven mis du temps à s’imposer. Comme toutes les œuvres novatrices il avait dérouté les premiers interprètes et le public. Vénéré aujourd’hui comme un des monuments de la musique occidentale, il apparaît au contraire d’un classicisme rayonnant. Dans sa Symphonie No 4, Brahms semble raconter l’histoire d’une vie à travers un monde d’émotions contradictoires convergeant dans le finale qui rend hommage à Bach en une triomphale péroraison.
Ludwig van Beethoven
Concerto pour violon et orchestre en ré majeur op. 61Johannes Brahms
Symphonie N° 4 en mi mineur op. 98
